Dans notre déclaration liminaire du 3 avril 2025, adressée aux membres du CAEC, nous avons dénoncé la culture du silence et de protection au sein de l'Église face aux agissements répréhensibles de certains de ses membres.
Nous soulignons l'insuffisance des mesures prises et le refus par l’institution d'assumer pleinement ses responsabilités, notamment en ne collaborant pas toujours avec la justice civile.
Nous appelons à la reconnaissance des souffrances couvertes par l'institution et à la justice pour les victimes.
En outre, nous dénonçons :
- les méthodes de management brutales et autoritaires dont sont victimes de nombreux enseignants sous contrat d'État dans l'Enseignement privé,
- les pressions excessives exercées par les chefs d'établissement du privé,
- et le mépris du cadre réglementaire.
Nous demandons le respect strict des droits des enseignants, l'arrêt des pratiques de management abusives et un dialogue social renforcé.
- les méthodes de management brutales et autoritaires dont sont victimes de nombreux enseignants sous contrat d'État dans l'Enseignement privé,
- les pressions excessives exercées par les chefs d'établissement du privé,
- et le mépris du cadre réglementaire.
Nous demandons le respect strict des droits des enseignants, l'arrêt des pratiques de management abusives et un dialogue social renforcé.